lundi 23 juin 2008

BOİTES DE VİTESSE ET TURBOMOTEURS DANS LA NATURE

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Toute personne qui s’intéresse aux moteurs de véhicules connaît l'importance des boîtes de vitesse et des turboréacteurs. Cependant, peu d’entre eux savent qu'il existe des boîtes de vitesse et des turboréacteurs dans la nature qui possèdent des propriétés amplement supérieures à celles utilisées par l'homme.

Les boîtes de vitesse vous permettent de changer la vitesse de votre véhicule afin d'utiliser le moteur de la manière la plus efficace. Les boîtes de vitesse naturelles fonctionnent sur le même principe que celles des voitures. Les mouches par exemple, utilisent une boîte de vitesse naturelle qui se base sur trois changements de vitesse reliés à ses ailes. Grâce à ce système une mouche peut instantanément accélérer ou ralentir le battement de ses ailes et obtenir la vitesse voulue.47

En voiture, au moins quatre vitesses sont utilisées pour transmettre la puissance du moteur aux roues. Il est possible de conduire doucement seulement lorsque les vitesses sont utilisées successivement, de la plus petite vitesse à la plus grande, et vice versa. Contrairement au système de vitesses utilisé dans les voitures, à la fois lourd et encombrant, les mouches utilisent un mécanisme qui ne requiert que quelques millimètres cube d'espace. Grâce à ce mécanisme bien plus fonctionnel, les mouches peuvent battre des ailes avec une très grande facilité.

Le calamar, la pieuvre et le nautile disposent d’une force motrice similaire aux principes utilisés par les turbomoteurs. Afin de bien comprendre l’efficacité de cette force, il suffit de se rendre compte que l’espèce connue sous le nom de Loglio vulgaris peut voyager dans l’eau à une vitesse de 32 kilomètres à l’heure.48

Un turboréacteur absorbe de l'air à l'une des extrémités et l'expulse de l'autre à très grande vitesse. Les turboréacteurs des aéronefs qui décollent verticalement comme le harrier disposent de tuyères pour expulser les échappements vers le bas. Grâce à ce système, le harrier peut atterrir et décoller verticalement. Après le décollage, les tuyères sont dirigées vers l'arrière afin que l'engin puisse voler vers l'avant.

Le calamar utilise un système de propulsion similaire aux jets. Le corps du calamar comprend deux espaces ouverts comme des poches. L'eau retenue dans ces "poches" est amenée dans un sac élastique de muscles qui se contracte. Ce sac contient un conduit dirigé vers l'arrière. Les muscles se contractent, expulsant l'eau hors du conduit très rapidement. L'animal peut atteindre une vitesse allant jusqu'à 32 km/h pour échapper aux prédateurs, réussissant même à sauter hors de l'eau pour atterrir sur le pont des navires. (Wild Technology, Phil Gates,
p. 38)

La coquille Saint-Jacques, lorsqu'elle est menacée par une étoile de mer, referme immédiatement les deux moitiés de sa coquille. L'eau, expulsée à ce moment-là engendre une propulsion de la coquille vers l'avant.

Du nom scientifique de Ecballium elaterium, le concombre d'âne disperse ses graines en une explosion soudaine. Alors que le fruit mûrit, il se remplit de liquide visqueux ce qui engendre une pression. Grâce à cette pression interne, le concombre propulse ses graines à une vitesse initiale de 56 km/h. (How Life Learned to Live, de Helmut Tributsch, Cambridge : MITPress, 1982, p. 59)

Le nautile, exemple incomparable dans ce domaine, ressemble à une pieuvre et pourrait être comparé à un navire doté d’un turboréacteur. Celui-ci récupère l’eau à travers un tube situé à l’arrière de sa tête avant de l'expulser. L’eau qui traverse le tube dans une direction permet au nautile d’être propulsé dans la direction inverse.

Une autre caractéristique rend les scientifiques jaloux de ces créatures. Leur turboréacteur naturel reste imperméable aux fortes pressions des eaux profondes. En outre, les systèmes qui leur permettent de se mouvoir sont à la fois silencieux et extrêmement légers. En effet, la structure extraordinaire du nautile a servi de modèle pour la construction de sous-marins.

De vieilles technologies sous-marines de 100 millions d’années

Lorsqu’un sous-marin remplit son réservoir d'eau, celui-ci devient plus lourd que l'eau et coule vers le fond. Lorsque l’eau du réservoir est expulsée au moyen d’air comprimé, le sous-marin refait surface. Le nautile utilise la même technique. Son corps est doté d’un organe en forme de spirale de 19 cm de long semblable à une coquille d'escargot à l'intérieur de laquelle 38 chambres de "décompression" sont reliées entre elles. Afin d’expulser l’eau, le nautile a également besoin d’air comprimé, mais où le trouve-t-il?

Afin de plonger ou de refaire surface, les sous-marins utilisent des compartiments spécifiques qui ont le même objectif que ceux du nautile. Lorsque ces compartiments (réservoirs) sont remplis d'air, le sous-marin flotte. Quand l'air est remplacé par de l'eau, le sous-marin descend. Le nombre de réservoirs qui sont remplis d'eau détermine la profondeur à laquelle le sous-marin se situe.

En utilisant des réactions biochimiques, le nautile produit un gaz spécifique avant de le transmettre aux chambres de "décompression" en expulsant l'eau afin de réguler leur flottabilité. Ceci permet au nautile de plonger ou de remonter à la surface lorsqu'il chasse ou lorsqu'il est poursuivi par des prédateurs.

Un sous-marin ne peut s’aventurer qu’à des profondeurs de 400 mètres, tandis que le nautile peut facilement descendre à des profondeurs allant jusqu’à 450 mètres.49

De telles profondeurs sont considérées comme dangereuses pour de nombreuses créatures vivantes. Malgré cela, le nautile n’est pas affecté, sa coquille n’est pas abîmée par la pression et son corps ne subit aucun dégât.

Un autre élément mérite toute notre attention. Le nautile utilise ce mécanisme qui peut supporter des pressions jusqu’à 450 mètres de profondeur depuis ses tous premiers jours sur terre. Comment a-t-il pu créer sa structure si spécifique ? A t-il pu développer le gaz et obtenir l’air comprimé nécessaire pour expulser l’eau contenue dans sa coquille ? Il est impossible qu'une créature sache comment créer une réaction chimique qui produit du gaz, encore moins construire une structure interne pour réaliser cette réaction chimique et certainement pas concevoir une coquille capable de supporter des pressions aussi exceptionnelles.

Cette conception intelligente est l’œuvre d’Allah, Qui créa tout de façon parfaite sans l’aide d’aucun modèle. Le nom d’Al-Badi donné à Allah (le Novateur) est évoqué dans le Coran :

Créateur de cieux et de la terre… (Sourate al-Anam, 101)

Les techniques de plongée des sous-marins ressemblent à celles des poissons capables de contrôler leur densité relative afin de remonter à la surface ou de plonger sous l'eau. Les poissons osseux possèdent une vessie natatoire à l'origine de leur flottabilité. Lorsque la vessie natatoire fait entrer de l’air, par diffusion à travers les vaisseaux sanguins des parois de la vessie, le poisson perd de sa densité ; lorsque l'air est expulsé, le poisson augmente sa densité. En changeant le volume d'air dans sa vessie, ce poisson peut rendre sa densité égale à celle de l'eau environnante à une profondeur donnée.


La profondeur d'un sous-marin se règle grâce à un système de commandes spécifiques, produit de l'intelligence humaine et de nombreuses années de travail. Personne ne peut raisonnablement affirmer que ces dispositifs sont apparus par hasard.
Selon les partisans de l'évolution, cependant, bien que le nautile puisse effectuer exactement les mêmes opérations qu'un sous-marin, il serait le fruit d'une apparition spontanée sur terre.


Ce vieux fossile de 100 millions d'années est la preuve que l'animal n'a jamais subi d'évolution. Allah a créé les créatures en une seule fois et avec toutes ces propriétés parfaites.

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